la spéculation et les porsche

il est pas content le journaliste :

https://www.autocollec.com/porsche-classique-la-bulle-se-degonfle/

Il est frustré car il n'arrive pas a s'en payer une.
Sinon, pas de problème, car quand on aime on compte pas...

En effet, il semble quelque peu frustré, mais d'un autre côté, il n'a pas complètement tord.
Ceci étant, son analyse ne peut pas se résumer qu'au seul monde des Porsche anciennes. Elles n'en sont que la partie la plus visible du fait des volumes de transactions importants, notamment dans les ventes aux enchères.

d'accord avec toi flat, on peut l'appliquer à bcp d'autres marques ou modèles
dommage que les investisseurs se soient positionnés en masse sur le marche de l'ancienne

Il y a plusieurs raisons à cette spéculation, mais la principale est en fait le besoin de faire le plus d'argent possible,rapidement et sans trop travailler.
Il y a beaucoup trop d'argent dehors, les banques, les gouvernements ont inondé le marché et placer de l'argent ne raporte plus rien depuis déjà bien longtemps.
Pour les gens qui ont du blé, il faut donc inventer autre chose.
Les Porsche ont été un objet de spéculation, mais aujourd'hui il y a aussi le vin etc.....

Pour revenir aux Porsches, la presse soit disant spécialisée ne fait rien pour calmer le jeu et au contraire en rajoute. Les vendeurs remplissent des pages de pub de véhicules d'occasion ( de véritable petites merveilles ), expertisés, garantis, "matching" soit disant et je ne sais quoi encore.
Beaucoup de personnes gravitent autour de ce microcosme et s'en mettent plein les poches jusqu'au jour où il faut passer à autre chose car presque plus personne ne marche dans la combine.

En fait, Porsche là dedans en profite, pourquoi pas ! ( 12 à 14 pleine page de pub par numéro concernant Porsche seulement ) et en fait, toutes ces pubs font vivre ces magazines.
Entre nous, pourquoi s'en priver ?

Le dindon si vous permettez est l'acheteur qui arrive sans trop connaître le marché, qui a de l'argent et qui croit le placer. Vous connaissez la suite.

C'est le monde d'aujourd'hui et ce n'est pas encore demain que ça va changer.